Ce samedi 20 novembre, notre mâchon statutaire nous conduisit en un lieu dont nos papilles se souvenaient encore.

En effet, en 2005, nous avions déjà mâchonné au « Béranger », situé au tout début de la rue Béranger  et nous avions diplômé Claude Barbet  et son associé grâce à ce mâchon.

Bon sang ne sachant mentir, c’est en toute confiance que 23 Francs-mâchons, un stagiaire, 13 invités et une autre personne se sont pressés pour découvrir la cuisine de Julien Barbet, le petit frère de Claude.

Pour accompagner la première rafale de Mâcon blanc (et les suivantes), nous avons découvert un généreux buffet qui à lui seul pouvait laisser à penser que tout le mâchon était là ! Doux Jésus ! ( il y en avait plusieurs plateaux!) tranches de terrine de la mère Lavoux composée de porc, fourme, noix) et grattons étaient servis en guise de mise en bouche gourmande.
A 9 heures (presque) précises, nous montâmes à l’étage où les tables étaient dressées. Notre hôte nous régala de noix de joues de porc au Beaujolais et d’un gratin de pommes de terre aux cèpes. Bien que pas fous de la messe, c’est avec dévotion que certains se sont abandonnés à Saint-Marcellin (de la mère Richard), d’autres préférant la faisselle ou encore la cervelle des canuts.

Le Beaujolais-Village nouveau étant arrivé (Domaine Garenne de Marc Goguet), nous l’avons convié à notre table et il s’y est parfaitement comporté. Nous aussi.

Il était une fois un petit cochon plein de promesses choyé par Jean Marc il vint par le four jusqu’ a notre bouche pour le plus grand plaisir des papilles des nombreux amis invités aux deux places le 20 novembre… c’était sa façon de fêter avec nous le beaujolais nouveau bio et ou raisonné du domaine des Ronze ou d’ailleurs.. ;
Un grand merci aussi a Yves et Jean Louis les deux compères restaurateurs qui fourni charcuterie et autres amusements ; merci aussi à  Yannick le guitariste et son collègue artiste qui reviennent en décembre tous les mercredis soir pour le plaisir de nos oreilles