Ce ne sont pas encore les vacances pour nous,

Mais le soleil est de la partie jusque dans nos assiettes :

30 joyeux lurons se sont retrouvés au restaurant « la LOZERE » situé rue de la….Lozère dans un petit quartier calme de Vénissieux. Les patrons les ont chaleureusement accueillis dans un cadre très agréable. Le petit blanc du matin était excellent ! Le grand nombre de pots bus (avec modération et l’ami Italien Parci Moni)  le confirmera, car il ne faut pas tout mettre sur le dos de la canicule (comment veux-tu ?….).Le temps passait très vite et  il était déjà 9 h, l’heure de passer à table. Le Président se mettait alors au travail, après les secrétaires et trésorier qui avaient œuvré dès leur arrivée, comme à chaque fois. C’était la traditionnelle présentation des (illustres) invités, un bref récapitulatif sur le calendrier de nos futures manifestations et l’inévitable BAELS ! Le mâchon pouvait débuter. Une petite entrée en  guise de mise en bouche nous était proposée : un délicieux fromage de tête qui fera l’unanimité.

La suite fut un grand moment : chacun put se régaler d’une « grandiose » assiette composée d’un pied de porc, de poitrine, de quelques tranches de sabodet pistaché et de légumes (pommes de terre et carottes), et si cela ne suffisait pas, un plat de morceaux de tête roulé était à disposition des plus gourmands. Vinrent ensuite les fromages (cervelle de canuts bien relevée et plateau de fromages secs). Le vin qui accompagnait le tout, (C.d.R.) était de grande qualité, et il fut largement servi. Je m’approchai alors d’Antoine Boillot et lui demandai :

-« Comment as-tu trouvé ce mâchon ? »  Il me répondit :

-« Oh, putain !!! »… Ce sera sans nul doute le mot du jour, qui résume bien le grand moment que fut ce mâchon. Nous ne pouvions décemment pas nous quitter comme cela, et, après le café, et pour certains un digestif, le champagne fut offert par Jean-Marc Roman et Michel, (ami et invité d’Antoine Boillot), et dégusté à l’extérieur, où les « cigar men » purent consommer leur puros à satiété.

Les motards enfourchaient leurs magnifiques engins (leurs motos, pas de femmes chez les F.M !!) d’autres reprenaient leurs voitures ou un autobus, ravis, repus, heureux : Quel bon moment, quelle belle matinée, quelle belle adresse !!!

C’était le …

Texte C.P.
Photos P.L.D.