Quelques jours après les dix lustres de Jean-Marc, voici la Septantaine de Bernard, cumulée à ses Quarante années de fidélité aux Francs-Mâchons. Chapeau l’artiste !!

Pour fêter dignement cet évènement, Bernard n’a pas fait dans la demi-mesure : un mâchon inter-confrérique, réunissant famille et amis : les Francs-Mâchons, l’Ordre de la Raie et les Traîne-Grolles !

Fidèle en amour, fidèle en amitié, Bernard restera fidèle à nos traditions : pas de femmes au mâchon.

Le menu qui vous est présenté résume à lui seul le moment formidable que nous avons passé….

Fidèle en amour, fidèle en amitié, Bernard restera fidèle à nos traditions : pas de femmes au mâchon. Mais Bernard n’est pas misogyne ! Les fenottes seront accueillies à bras ouverts au repas qui prolongera le mâchon (après une petite pause pour laisser à nos amis de La Meunière le temps de débarrasser et de redresser les tables).

Au total, c‘est une cinquantaine de Mâchonneurs qui partagèrent ce fantastique ‘’casse croûte comme au bon vieux temps’’ avec ses plats d’exception, et le bon vin qui accompagna le tout, dans la plus festive des ambiances.

Plus tard,  les derniers invités arrivés, famille, compagnes et amis s’attablèrent dans les deux salles de l’établissement pour partager un repas inter confrérique lui aussi. Si certaines et certains passaient à table, le plus grand nombre y repassait, mais quel beau linge !

Près de soixante convives cette fois-ci, purent se régaler d’un extraordinaire repas et de vins délicieux, qui se mariaient parfaitement aux savoureux plats proposés.

Ici encore, le menu ne laisse guère de doute sur la parenthèse enchantée que fût ce déjeuner.

Mais il fallait être présent pour « goûter » l’ambiance magnifique qui régnait à la fin du repas, quand les chants tantôt lyriques, tantôt joyeusement populaires nous confirmaient combien la vie peut être belle et douce parfois.

Bernard, tu as montré, que tu avais un cœur et une générosité immenses en invitant tant de gens à « tes » anniversaires en ce samedi 13 octobre. Tu n’a pas voulu de cadeaux (pourtant, bien-sûr, tu n’es pas reparti les mains vides) mais j’espère que tu as pu recevoir une belle contribution pour le projet de l’association qui te tient à cœur, VHASI, et que ce projet deviendra bientôt une réalité.

Au nom de tous les Francs-Mâchons, quarante fois merci à toi, Bernard, l’aboyeur au grand cœur. (Merci également à ton épouse pour l’aide précieuse qu’elle n’a pas manqué de t’apporter pour l’organisation de cette inoubliable journée, et bravo à Jean-Louis Gelin et à toute son équipe).